CHRONIQUE SUR LE PAGNE BLANC DE EKUE-BLA AKUETE

 

CHRONIQUE SUR LE PAGNE BLANC DE 
EKUE-BLA AKUETE


PAR Gérard LePrince ABOTSI ( GLP)
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     QUATRIÈME DE COUVERTURE

           Orpheline de mère depuis le jour de sa naissance, Marie Ange fut adoptée par sa tante pendant dix-huit ans et durant tous ses jours auprès de celle-ci, elle avait une vie épanouie et paisible. Mais un jour, sa tante mourra et laissa Marie Ange sous la garde de son mari qui était un homme méchant et pervers. Avant de rendre l’âme suite à un accident mortel, la tante de Marie Ange avait mille fois prévenu sa fille de fuir la maison de son époux après sa mort car ce dernier était à l’origine de sa mort. Et en plus de cela, il voulait donner Marie Ange en sacrifice pour avoir de l’argent et du pouvoir. Tout fut relaté à la jeune fille dans son rêve et aussi lors de la cérémonie nocturne de son père adoptif. Quelques jours plus tard après le rêve de Marie Ange, son père lui a fait une demande qu’elle n’avait jamais imaginée. Un voyage au pays des marabouts, quelle surprise? Faut-il accepter ou refuser ? Marie Ange était troublée et dans l’embarras. Mais fort heureusement, sa défunte tante lui apparaît dans son rêve et l’ordonna de fuir au cours de son voyage avec son père. Traversant des eaux et des forêts ainsi que des montagnes, Marie Ange arriva à Lomé grâce aux pouvoirs d’un vieux rencontré dans la forêt qui parlait avec les animaux féroces. C’est à Lomé que Marie Ange deviendra une mère de quatre enfants dont un mort suite à un accouchement ayant duré sept jours. 
          
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BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR

EKUE-BLA AKUETE, né le 24 Novembre 2000 à ATTISSO-KONDJI dans la préfecture des Lacs du TOGO, située à 37 Kilomètres de la ville de Lomé. Il fit ses études primaires et secondaires successivement dans les écoles des Lacs 1et Lacs 3, et obtint son Baccalauréat deuxième partie en série littéraire au Lycée d’ANFOIN en 2018-2019. Né d’un père cultivateur et d’une mère revendeuse, il décida après son baccalauréat d’être formé en journalisme mais peine perdue, car bien de circonstances font à ce qu’il fasse et ce en une courte durée Lettres et Art, puis, Histoire et Archéologie en passant par la FSHS. C’est ainsi que le jeune bachelier finit par suivre plusieurs formations parmi lesquelles l’info-graphisme, l’architecture, l’informatique et la bureautique. Il devient par après un agent commercial dans un établissement privé du nom de DSH. Il est depuis sa tendre enfance un passionné de la littérature. Après son tout premier roman intitulé Le fruit d’un amour sacrifié publié en Janvier 2023. EKUE-BLA nous revient avec son deuxième livre intitulé LE PAGNE BLANC. 
       
     
               
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L’histoire relatée dans ce livre plein de suspenses, est, du moins d’une vie parsemée des embuscades et des épines de la vie, des défis à relever, tout en suivant et en marchant sur les traces que le destin a déjà tracées. C’est une vie de Marie Ange, orpheline de mère depuis sa naissance, abandonnée entre les mains de sa tante à Kpalimé, une ville située sur les montagnes et dans les forêts, elle doit être prête à toute chose tout en gardant en esprit que la vie n’est pas du tout facile. Hélas pour elle, à ses dix-huitièmes années, sa tante, celle qui l’a donné le meilleur de cette vie, une vie épanouie et paisible, a été foudroyé par un accident mortel. Et c’est son occasion de faire face à la vie et à son destin de fille et après de femme, sauveur de son entourage. 

On dit souvent qu’un malheur ne vient pas seul, il est toujours accompagné des autres situations qui coupent toujours le vivre-aisé. Marie Ange, quoi que naïve, fut vite accommodée aux péripéties de la vie. Comme toujours, pour qu’un destin n’accomplisse, il faut des changements, du moins, de quelque couche de la vie, c’est ce qui a permis que marie Ange, pour que son destin soit accomplit et soit effectif, il faut que sa tante parte, car Marie Ange est la réincarnation d’une femme sauveur, tacheté par les autres du sorcière, mais du bon cœur. Car, après tout, elle avait le cœur blanc, et dans la sorcellerie, elle possédait la magie blanche, d’où elle ne faisait pas de mal à personne.

Marie Ange, a traversé des forêts, des eaux pour venir à Lomé, plus précisément à Adigomé. De Avégodo, non loin de Tado, qui signifie sans doute dans la langue Ewe, communément parlée au sud du Togo et dans une partie du Ghana «derrière la forêt» un village construit aussi mystiquement, comme décident toujours nos aïeux à notre place, ils n’ont fait qu’assouvir leur responsabilité qu’est de faire de tout possible que le village soit développé. Quelques années après, les gens les ont rejoint, des commerçants et autres, c’est de là aussi que, sa Mère, Catherine fut trouvée, car elle est une infirmière qui a de bon cœur, et reconnaît bien sa vocation en tant qu’infirmière, sauveur des vies, et non empocheur des sommes d’argent et des biens des autres. 

Le destin est irremplaçable dans notre cursus de vie, quel qu’en soit notre désir de vivre une autre, ce ne sera pas possible que d’accepter ce que Bomenon nous a donnée. Cette histoire de Marie ange est purement à découvrir et à déguster avec soin et modération. Elle renferme des traces miraculeuses d’une vie remarquable que si « tu n’as pas d’échos, ou qu’on te l’a raconté, tu ne croiras jamais; mais c’est vrai.» 

Marie Ange, est une fille incarnée de cette sorcière qui sauvait le village entre-temps. Une fille douce et raisonnable, belle comme la déesse enchanteresse, elle a encaissé des douleurs que lui a lancé la vie, soucieuse d’un bon demain, se sentir comme une femme un jour, rester dans un foyer, caresser les lèvres de l’amour, et se sentir dans les bras d’un homme. Et comme toujours, lui a prédit sa tante, c’est ainsi que les choses se sont passées. Même s’il y aura des pensées purement noires à son égard que c’est les choses ignobles de l’Afrique, d’où la sorcellerie, nous devons être en mesure possible de savoir que ces choses constituent la tradition africaine. Il y a toujours des histoires qui suivent chaque peuple, d’où chaque nation, du moins, chaque continent. Nous ne devons pas suivre la tradition des autres peuples tout en ignorant la nôtre. 

Ici, cette digne fille a représenté l’Afrique comme il le faut. Eu des déceptions de la vie, même amoureuse, de SIAMENOU qui l’a mise enceinte, mais qui lui a proposé d’avorter la grossesse, car il vient d’avoir une femme qui a déjà un enfant pour lui. C’était très dur pour elle, mais après, elle a retrouvé ses sourires en mettant au monde quatre enfants sur-champs dans sept jour dont un, n’est pas en vie. C’est une histoire, emplie des leçons de moral que chacun doit découvrir. C’est le fruit de ses aventures qu’elle nous a relaté sans contraintes et sans gênes... 


Traitement et mise en ligne : K. AGBOYIBO. 

https://agboyibo.blogspot.com
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